18 novembre 2008
La Marseillaise
Hymne national français !
C′est de saison …
Allons enfants de la Patrie Le jour de gloire est arrivé Contre nous de la tyrannie L′étendard sanglant est levé L′étendard sanglant est levé Entendez-vous dans les campagnes Mugir ces féroces soldats Ils viennent jusque dans vos bras Egorger vos fils et vos compagnes. Refrain Que veut cette horde d′esclaves De traîtres, de rois conjurés Pour qui ces ignobles entraves Ces fers dès longtemps préparés Ces fers dès longtemps préparés Français, pour nous, ah ! quel outrage Quels transports il doit exciter C′est nous qu′on ose méditer De rendre à l′antique esclavage Refrain Quoi ! des cohortes étrangères Feraient la loi dans nos foyers Quoi ! ces phalanges mercenaires Terrasseraient nos fiers guerriers Terrasseraient nos fiers guerriers Grand Dieu ! par des mains enchaînées Nos fronts sous le joug se ploieraient De vils despotes deviendraient Les maîtres de nos destinées Refrain Tremblez, tyrans et vous perfides L′opprobre de tous les partis Tremblez ! vos projets parricides Vont enfin recevoir leurs prix Vont enfin recevoir leurs prix Tout est soldat pour vous combattre S′ils tombent, nos jeunes héros La terre en produit de nouveaux Contre vous tout prêts à se battre Refrain Français, en guerriers magnanimes Portez ou retenez vos coups Epargnez ces tristes victimes A regret s′armant contre nous A regret s′armant contre nous Mais ces despotes sanguinaires Mais ces complices de Bouillé Tous ces tigres qui, sans pitié Déchirent le sein de leur mère Refrain Amour sacré de la Patrie Conduis, soutiens nos bras vengeurs Liberté, Liberté chérie Combats avec tes défenseurs Combats avec tes défenseurs Sous nos drapeaux que la victoire Accoure à tes mâles accents Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire Refrain Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n′y seront plus Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus Et la trace de leurs vertus Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre Refrain |
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Paroles et musique furent écrites en 1792, par l′officier du
génie Claude Joseph Rouget de Lisle (1760-1836). Proclamée hymne national le 14 juillet 1792, elle fut interdite sous l′empire, elle devint hymne national de la République en février 1875, à l′instigation de Gambetta. |
C′est donc reparti pour un tour !
Sûr que s′occuper d′un match de foot
contraint l′esprit à ne pas trop penser
à autre chose.
Plus de Django Reinhardt ?
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